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WEBZINE

Édito.

Après les choux, on garde un régime équilibré avec les abricots! Le hasard nous a ainsi ramené dans le jardin pour le sujet de ce second numéro. Lors de l’édition de ce dernier, nous étions partis pour le semestre en Erasmus, nous avons donc imaginé une nouvelle façon de travailler. L’occasion de découvrir de nouveaux points de vues à l’étranger nous a motivé à poursuivre et amener ce projet à une échelle mondiale! Le web s’est ainsi imposé de lui-même, offrant des possibilités nouvelles par rapport à l’édition papier, que nous avions déjà expérimentée lors de notre premier numéro. Ainsi de la France à la Finlande en passant par l’Allemagne, la Lituanie et la Roumanie, nous avons amassés de nombreuses propositions sur des mediums variés (bande dessinée, texte, photographie, vidéo…). Chaque participant explorant de son regard sensible cet objet du quotidien qu’on ne regarde même plus : les abricots !


apricot_d_serek_gifff.gif

Serek Dagmara, gif, fait en Roumanie

Ce faci_OLAF

Hinc Błażej, Photographie, fait en Roumanie

Apricots

Uusitalo Riita, Illustrations, fait en Finlande

Planche_abricots.jpg

Tremori Celia, Illustrations, fait en Roumanie

Annanyme

Pallier Anna (Annanyme), Illustration, fait en France

Hilja.jpg

Honkola Hilja, Peinture, fait en Finlande

Physics

Meister Johan, Planche photo, fait en Allemagne

Apricot pie

Gonon Axelle, Apricot pie, Illustration, fait en Roumanie

Licœur d’abricot

Jacquemier Terava, Illustration, fait en France

Windsbraut_Wetzel.jpg

Wetzel Hannah, illustration, fait en Allemagne

Abricot 3D

Zannoni Samantha, objet 3D, fait en Lituanie

Abri, aradobo poems, mots sur site web extensible, 2014

Aktypi Madeleine, Site web, textes, fait en France

"champs d'abricots" 2020

Ortega Raphaël, France

Abricots

Bougourd Alice ARJ, Vidéo, fait en France

Lytharsis

Pierre Carla, Illustration, fait en France

fanzine_abricot

Grandcolas Louise, site web, fait en Argentine

Portrait descriptif de l’infiniment petit, de la surface planétaire d’un alias d’abricot pourri

Col-Eyraud Evan, Texte, fait en Finlande

Forever not appealing

Kortyka Ramona, Vidéo, fait en Allemagne

Les nuit d'une demoiselle

Delaporte Julie, BD, fait en Allemagne

Copaint

Delaporte Julie et Zannoni Samantha, outil à dessin, fait en France

Made in China

Delaporte Julie, Illustration, fait en Allemagne

des terrestres altérés, un minutieux notaire, trois vœux étranges, des pantins sans houlette, un d’antan, deux messieurs insectueux, une personne par terre, quelques scribes à huit pattes, un danseur, une denseuse, l’homme du moment, un plan de sagesse, des singes dégoûtés, une administratrice poilue, un facteur éperdu, des cordons salutaires, âmes de ménage, les visages, l’âge, un courtier, un sous-sol, la lampe au parasol, un meuble à côté du bureau, la vase de fleurs, un poignet sans porte, une porte qui donne sur un balcon, un livre lu à moitié, une banane (qu’une voiture manque d’écraser), des coiffeurs, des fiches, des javeaux, la javel, la lessive, les produits laitiers, la moustache parlante, l’ombre de quelqu’un (qu’on ne connaît pas encore), une crise de la quarantaine, des ptérodactyles enfermés, des questions limitrophes, des écrans multitouches, des bourbillons cicatrisés, l’élève mal élevé, le don impossible, les ongles jaunis, le meeting, le zapping, le scrolling, la chassie, les contes de fées, les hélicoptères, les oliviers, les coléoptères, une pierre tombale sous la neige, des quartiers, des bouchers, des cerises, des astuces, des banquiers, des jalousies, des désirs, des envies, des incises, des domiciliations, les interfaces utilitaires, les bidonvilles, les bien polis, les mal polis, les myrmécophiles, les locaux, les bandeaux, les poteaux, les bocaux de moutarde, les missives, les numéros de portable, les stéréotypes, les professions, les confessions, les professeurs, les let’s-call-it-a-night-girls, les vols indirects, les témoins encastrés, les récits, les (séries) télés, les après-minuit, les attols, aérosol, gaine capitale, art martial, maladies de la peau, minuscules tromperies, tranches de vie, langue des sources, gangue des corps, serrures, couvercles, corridors, peeping toms, canidromes, ingrédients, lampyres et lucioles, mendiants, persanes, mandarines, ovomaltine, les Rolls, la guerre, la planche, la place, les décombres solaires, l’origan, l’horizon, les étapes intermédiaires, les girafes embaumées, les lèvres, l’huile, les cheveux de Sibylle, le disque délébile, le reçu tamponné, l’autobus stationné, le couloir atrophié, l’œil myope, le pont des arts, les caméras RED, les menteurs ahuris, les accidents de série, la chambre inversée, l’archive, les coïncidences heureuses, les câbles houleuses, les serfs domptés, les coques éveillés, la sauce milanaise, les océans, le commerce, l’anoploure, la fenêtre, le pancréas, panégyriques, bonbons multicolores, bonbons collants, fibres, lettres, couvertures, les LED, les membres prosthétiques, le couteau, la photo, le legs, les colporteurs, les signes, les outillages, les dossiers, les fêtes, les bonhommes, le cœur du problème, la météorologie, le vol, le vol, les maux des têtes, les bras, la neige, les haricots mungo, des bordereaux, des données, la stupeur, un arnaqueur, des tubes cathodiques, des machins, des pèles, des chiens d’arrêt, des porte-bouteilles, le courant alternatif, les post-scriptum, des forteresses, des prises de vue, des chats, un chapeau (mal formé comme si on venait de s'asseoir dessus) sur un lit ou dans un avion, une archiduchesse pieds nus, les filandreuses sangsues, la sueur des aisselles, les doigts sans ailes, les petites cervelles, les saisons, le pignon, l’aparté, la délectation, le capot, la floraison, la folie, la démangeaison, invitation, dissolution, 8 clos, 3 marteaux, un poteau, un essor, un ascenseur, dans un sac, le caleçon, un ressort, un conte à rebours, des adultes miniatures, un strict minimum, un accueil chaleureux, un bisou inespéré, une gêne occasionnée, une musique concrète, un bâton à roulettes, des feux orange, des abris, des colibris, des chemises qui changent d’avis, une poche fêlée, des choses repoussantes, de la mousse, une boussole, une housse, la moitié de quelque chose, la chose, l’envers du décor, le cadran, le décor, le montant, la montagne, le chaperon, l’eau de vie, l’ennui, l’ennui, la crapule glorieuse, la connerie, le canal, l’abîme, l’infime, l’opossum, l’ô combien, l’éclair au chocolat, le trou du cul, la fioriture agréée, le veau exaucé, la clope fumée, le sinistre cure tout, le médium, le médecin, le médiocre, la panique, les mesures drastiques, la propreté, la peur, l’action, la valence, l’euphorie, l’interruption, la balance, le hublot, la galère, la cosmétique, la preuve, le fond, le coeur, le fin mot, l’affaire, l’histoire, le trousseau, le papillon (un instant au bout d’une feuille qui s’apprête à tomber), cannibale, scandale, crémaillère, magical mystery tour, gobelet, museau, appareil, corbeau, la première fois que j’ai vu tes mains, faim, crêtes, creux, cris, paillettes, logement, classeur, colline, revolver, la bougeotte, évier, émail, amande, clef, animal http://aradobo.hotglue.me
Portrait descriptif, de l’infirment petit, de la surface planétaire d’un allias d’abricots pourrie. Qu’est-ce qu’un abricots ? Je répondrait à cette question non pas du point de vus biologique ou nutritionniste, mais de celui d’un ignare descriptif. Il s'agit donc d’une sphère, plus ou moins égale en sa surface, de couleur orange mais qui peut avec le temps s’altéré de couleur et de forme. Face à moi se trouve une mandarine pourrit, laissé à l’abandon depuis déjà 4 mois. Mais qu’est-ce qu’une mandarine si se n’est qu’une sphère orange de petite taille, à la surface changeante, autrement dis un abricots. J’entreprend donc ici de vous faire le portrait de la surface planétaire de cet abricots assumé. La surface de cette étrange planet, inaccessible à notre échelle s’ouvre donc à toute sortes de fantasmes. Le pays de l’Abricot ressemble donc, en son dessin, à une sphère chaotique composé de 4 régions distinctes. Et elles avait pour noms le Troustar (Terre-du-Nord), Crevastar (Terre-de-l’Oues), Sombrostar (Terre-de-l’Est) et le Platostar (Terre-du-Sud). Le Troustar était le plus froid de tous, Au centre de la region se trouvait un arbre colossale épanouissant ces feuilles en une étoile à cinque branches. Les versants montagneux de la contré s’enfonçaient à pique en son centre, siège majestueux de la Germe du Nord (tel était le nom de cet arbre). Courage et dextérité était demander à tout voyageur s’aventurant en ces terres, et qui souhaitait contemplé la pousse. Mais si les vents glacials se faisaient redoutable sur les crêtes des versants, en son coeur (expliquant le pousse de la Germe du Nord) le climats était doux et à l’abris des intempéries extérieurs. Le Crevastar, était de tous la régions la plus chaude, voire tropicale. La terre y était flamboyante, parsemé de nombreux gouffre large dans les quel se plaisait une végétation luxuriante. L’humidité record au coeur de ces crevasse en faisait une terre accueillante, pour qui qu’on que parvenait à se rendre en ces lieux, car si les pentes étaient en certain endroit, connue des locaux, douces et couver de landes herbeuses, elles pouvaient également s’avérés abrupte et hostile, pour qui ne savait les abordés. Le Sombrostar ce trouvait être la terres la plus hostiles constamment balayé de vent arides et gelés. Ces pâturages sombres s’étendaient à l’horizon, couvert de bruyère ou serpentait quelque ruisseaux sauvages. C’était un pays rocailleux et non fertile au arbres rares, mais ou en son Sud les sapins et le mélèzes se plaisaient dans leur solitudes. La region était alors peu peuplé, et il ne faisait bon vivre en ces terres que pour ceux qui en était originaire. Pour finir le Platostar, était une région oublié, désolé dans son relief plats. Pour autant si aucune montagne, ne s’épanouissait à l’horizon, ces regions centrals offrait un oasis de bonheur. Bordées de nombreux lacs une forets dense si plaisait. Mais de par sa situation géographique, les gens oublièrent l’existence à l’extrême sud, de se jardin luxuriant, au eaux abondantes, le laissant dans sa contemplation silencieuse. Voilà donc en ces quelques lignes la description féérique d’une terres hors de notre porté, décrite dans le fantasmes de l’esprit.

Dessine moi un abricot !

Le projet

Stocko, c'est quatre étudiants en quatrième année, qui un peu désoeuvrés, mais pas désemparés ; ont décidé de profiter de la conjoncture, pour partir à l'aventure. Axelle, Samantha, Evan et Julie, c'est leur noms. C'était peut-être une coïncidence, mais ils avaient la même envie. Celle de lancer une revue, un petit truc sans prétention, mais qui saurait faire face à l'imprévu. Alors ensemble ils ont tenté leur chance et ont fondé Stocko : un fanzine participatif et collaboratif. Stocko, ça vient de "stochastique", un mot qui désigne un phénomène relevant du hasard. Stocko, ça vient aussi de "stocker". En un titre, voilà la destinée de cette revue toute tracée. Le thème de chaque numéro est tiré au sort et toute personne souhaitant se confronter à cette fatalité peut participer. Le fanzine sera alors le résultat de l'accumulation de toutes ces participations.

!!!Nouveau WEBZINE disponible en cliquant sur l'icône Abricot sur le bureau!!!
Le nouveau mot tiré au sort est....... "Rebiquer"!!!!!

L'équipe
Axelle
Evan
Julie
Sam
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